Chanter pour célébrer la Vie qui circule dans chaque cellule, faire vibrer les cœurs à l'unisson... Bercée par le chant du sacré depuis toujours, Marie-Séraphine Vincent partage avec passion son chemin intérieur de thérapeute et de chef de chœur pour, dans un double mouvement au service de la voix et du Vivant, élever la vibration du corps et faire résonner Sa voix au cœur du silence créateur.
Comme on entrerait dans un grenier interdit, une visiteuse nocturne un peu voleuse pénètre dans la maison d’Alexandra David Néel inoccupée et à l’abandon depuis la mort de cette dernière. Elle ouvre les malles, découvre les livres et les souvenirs que l’exploratrice a rapportés de ses voyages. Comme par magie, entre théâtre d’objets, de marionnettes et d’ombres, la vie d’Alexandra se déroule alors aux yeux des spectateurs, avec ses aventures, ses rencontres, ses péripéties.,,
Chanter pour dire le lien, chanter pour éclairer les passerelles les plus inattendues, chanter pour prendre dans ses bras le monde tel qu’il est et, peut-être le soulager de ses blessures... Mitchélée est chantée depuis toujours pour faire entendre le Silence, à la rencontre d’une humanité certes plurielle mais jaillissant de la même Source : notre dénominateur comme UN.
La vie est faite de cycles, de morts puis de renaissance... anciens modèles, attachements, modes de fonctionnement obsolètes, le vivant nous permet d’incarner notre joie à être, qui demande à naître. À travers le jeu dramathérapeutique, le « Théâtre de l’Être », la harpe thérapeutique, le rituel du labyrinthe, Angélique Boulay et Esther Mirjam Griffioen accompagnent chacun à mettre des mots sur des émotions, permettre de les dire et de les vivre, pour s’en libérer, laisser partir ce qui le doit et laisser naître ce qui le demande.
Le concert de Lorenza Garcia, en présence de son ami de cœur Kévin Dust de la tribu Crow, est une compilation de chants mêlés à des tempos esquissant le rythme des danses amérindiennes aux aspects spirituels et historiques (Round Dance). Ces rythmes, s’inscrivent dans une perception artistique aux sonorités esthétiques mêlant différentes histoires et influences. Une invitation à intégrer ces appartenances musicales ainsi que les points communs entre les cultures.
Le chant Dhrupad constitue un Yoga du Son ancestral authentique comprenant une méthode de prononciation des sons, des techniques éprouvées de placement de la voix et une approche unique du Silence intérieur. Ce chant trouve son origine dans la cantillation védique. Il s’accompagne du tampura, miroir naturel de la voix qui se lie à sa vibration dans l’alchimie évocatrice d’un monde de subtilité et de quiétude où éclot le Son Subtil, Anahata Nâda, dont le siège est le cœur.
Le chant Dhrupad constitue un Yoga du Son ancestral authentique comprenant une méthode de prononciation des sons, des techniques éprouvées de placement de la voix et une approche unique du Silence intérieur. Ce chant trouve son origine dans la cantillation védique. Il s’accompagne du tampura, miroir naturel de la voix qui se lie à sa vibration dans l’alchimie évocatrice d’un monde de subtilité et de quiétude où éclot le Son Subtil, Anahata Nâda, dont le siège est le cœur.
L’interprétation des différents ragas trouve son inspiration dans un pivot central : les cycles horaires ou Prahar en sanskrit. Ceux-ci désignent 8 périodes de 3 heures chacune faisant le tour du cadran en 24 heures. Chaque raga est destiné à être joué à un moment précis du jour, de la nuit ou de l’année... Nous vous invitons à un voyage méditatif accompagné par quelques ragas emblématiques du soir et de la nuit.
Le chant Dhrupad constitue un Yoga du Son ancestral authentique comprenant une méthode de prononciation des sons, des techniques éprouvées de placement de la voix et une approche unique du Silence intérieur. Ce chant trouve son origine dans la cantillation védique. Il s’accompagne du tampura, miroir naturel de la voix qui se lie à sa vibration dans l’alchimie évocatrice d’un monde de subtilité et de quiétude où éclot le Son Subtil, Anahata Nâda, dont le siège est le cœur.
L’interprétation des différents ragas trouve son inspiration dans un pivot central : les cycles horaires ou Prahar en sanskrit. Ceux-ci désignent 8 périodes de 3 heures chacune faisant le tour du cadran en 24 heures. Chaque raga est destiné à être joué à un moment précis du jour, de la nuit ou de l’année... Nous vous invitons à un voyage initiatique à travers les cycles, ponctué par quelques-uns de ces ragas emblématiques.